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Frédéric NATAF, CNRS HPDDM met en oeuvre les méthodes de décomposition de domaine les plus populaires: one- and two-level Restricted Additive Schwarz, Finite Element Tearing and Interconnecting (FETI) et Balancing Domain Decomposition (BDD) method ainsi que les méthodes de Schwarz optimisées. Ces méthodes peuvent être accélérées par des vecteurs de déflation calculés automatiquement par les approches GenEO (Generalized Eigenvalue problems on the Overlap) ou Dirichlet to Neumann. Ce code a été testé avec succès sur des problèmes de Darcy (2 milliards d’inconnues en 3D pour un problème hétérogène en 180s sur une dizaine de milliers de coeurs), d'élasticité (300 millions d'inconnues en 3D pour un problème hétérogène en 36s sur 8 000 coeurs), de Stokes et aussi des problèmes de propagation d’ondes comme Helmholtz ou Maxwell fréquentiel. HPDDM (https://github.com/hpddm/) est écrit en C++11 avec MPI et OpenMP pour le parallélisme. Bien que son interface repose sur des pointeurs classiques, il nécessite un compilateur C++ récent.
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